UNFP

L’Union Nationale des
Footballeurs Professionnels

UN PARTENAIRE PRIVILÉGIÉ DES INSTANCES FRANÇAISES ET INTERNATIONALES

Représentée et active au Conseil d’Administration de la LFP, au sein de la Haute Autorité du Football Français, et dans chaque commission où les intérêts des joueurs sont en jeu, l’UNFP (présidée par Philippe Piat) est un incontournable partenaire du football français, mais aussi européen et mondial à travers son investissement humain au sein de la Fédération Internationale des Footballeurs Professionnels, la FIFPro, dont elle a été l’un des membres fondateurs en 1965. David Terrier vice-président de l’UNFP est également président de la FIFPro Europe.

UN ACTEUR ENGAGÉ AU SERVICE DES JOUEURS

La mission première de l’UNFP est de défendre les droits et protéger les intérêts des footballeurs professionnels. Pour y parvenir, le syndicat s’appuie aujourd’hui sur une organisation sans faille et quelques fidèles partenaires.

Pour aller au-delà d’un rôle syndical qui correspond à son cœur de métier, l’UNFP a créé, au fil des années, différents services pour accompagner la carrière du footballeur professionnel évoluant en France et continuer à le servir, même une fois les crampons rangés dans l’armoire au souvenir parfois (juridique, reconversion, sociétal…).

UN ROLE PRÉCURSEUR DANS LE DÉVELOPPEMENT DU SPORT PROFESSIONNEL MODERNE EN FRANCE ET DANS LE MONDE

La Charte du football professionnel, conclue en application des dispositions légales, règle les « rapports entre la Fédération Française de Football ou la Ligue de Football Professionnel d’une part, les organismes employeurs concernés d’autre part et les salariés relevant des métiers du football de dernière part ».

Cette véritable convention collective, forte de plus de huit cents articles et de quelques annexes actualisés chaque année, est donc cosignée par la FFF, la LFP, l’UCPF, l’UNFP, L’Amicale des Éducateurs de Football, L’Union Nationale des Entraîneurs et Cadres Techniques Professionnels du Football.Document précurseur dans les relations entre employeurs et salariés dans le monde du sport, cette charte a, plus de quarante ans après avoir vu le jour, servi de modèle à la convention collective nationale du sport français…Il est donc loin le temps où Raymond Kopa, au début des années 60, déclarait que les footballeurs français étaient des esclaves.

plus de 50 ANS
D’HISTOIRE

Le syndicat d’alors, créé le 16 novembre 1961, a tout de suite volé de ses propres ailes, refusant d’emblée tout compromis, toute alliance suspecte avec les dirigeants.

Just Fontaine, Eugène N’Jo Léa, Jacques Bertrand et quelques autres étaient seulement portés par une indicible volonté et ne demandaient pas grand-chose, finalement. Un peu de justice sociale et de tolérance pour que les gestes étalés sur le rectangle vert de leurs illusions, et des nôtres, soient toujours plus beaux. Et puis, devant les notables parfois devenus fous, devant le voile opaque déjà fait d’argent et de menaces, ils ont réclamé le respect de la loi et, par-delà, de la personne humaine pour que le jeu de football reste à l’enfant, même devenu professionnel.

Cinquante ans, quelques combats, une grève et quelques belles victoires ont passé (le pécule de fin de carrière, le contrat à temps, la charte du football professionnel pour ne citer que celles-là), mais l’âme des premières heures habite encore le syndicat français, partout cité en référence, partout imité, jamais égalé. Il faut avoir discuté avec quelques footballeurs de chez nous, que l’Arrêt Bosman a jetés sur les routes de l’Europe, pour comprendre ce que l’UNFP et le statut du footballeur français ont d’unique en leur genre. À l’heure où s’évanouissent les frontières, où la vigilance reste la plus sûre des alliées pour préserver le rêve, le combat et les idéaux de nos anciens, ce statut est un phare, un garde-fou qu’on envie au footballeur français, comme on nous enviait hier Michel Platini ou Zinédine Zidane…

16 novembre 1961,
la naissance

À l’époque de la création de l’UNFP, le ballon rebondissait un peu moins haut, les footballeurs couraient un peu moins vite, les défenses – y compris leurs avocats – défendaient un peu moins fort et seul Michel Platini, dans sa trajectoire majestueuse, perçait déjà sous les traits d’un gamin de Jœuf. Anonyme. Le prodige n’avait que six ans, mais bottait déjà dans un ballon fait à la fois d’utopie et de rêves inavoués.

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